Le mot du jour de la fin 2012

Aujourd’hui, le dernier jour de 2012, attendant les douze coups de minuit, je regarde tout ce que nous avons accompli et les chantiers de l’esprit que nous avons ouverts, les combats que nous avons perdus sans battre en retraite, l’approche de la mort, nos voyages incessants de Hong Kong en Chine, à l’Ile de la Réunion dans l’Océan Indien, de Paris à l’Ile de Malte en Méditerranée, de Vienne en Autriche au bord de la Mer Noire, de l’Ecosse à Leipzig en Allemagne et à Rome en Italie…

La lecture de nos écritures et notre expertise de sortie de crise, sur tous les continents, dans toutes les Russies, la Chine, le Japon, toute l’Asie, l’Afrique et les Amériques, en Australie et dans toute l’Europe.

Je regarde cette mission sans espoir et je trouve que tout va bien.

La dé-financiarisation de l’abri a commencé  en hommage de l’Abbé Pierre.

La reconquête de la signification est en marche en hommage à Algirdas-Julien Greimas,

 

Ce fut une belle année 2012.